tag:blogger.com,1999:blog-1121093041419813261.post7105910283761780601..comments2023-04-13T07:15:23.342-04:00Comments on Le Gestionnaire Borg: Comment doit-on venir en aide aux employés atteint d'une maladie mentale?Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/11791859214847457081noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-1121093041419813261.post-53934659118907413782009-10-14T23:02:43.899-04:002009-10-14T23:02:43.899-04:00@Mathieu Laferrière:
Je suis heureux que tu abord...@Mathieu Laferrière:<br /><br />Je suis heureux que tu abordes l'angle «gestionnaire» afin de dégager les enjeux et les défis de gestion que suppose les problèmes de santé mentales.<br /><br />Je retiens qu'il importe de demeurer humain et près des membres de nos équipes afin de détecter les signes. <br /><br />De plus, l'organisation a aussi des responsabilités, dont celles d'outiller adéquatement les gestionnaires.<br /><br />Ton commentaire se tient, bien évidemment!<br /><br />En outre, tu effleures un élément très important lorsque tu mentionnes que le gestionnaire doit aussi se mettre une limite. Tu traces la ligne à un endroit précis et je suis très à l'aise avec ta position mais y-a-t-il consensus sur la question?<br /><br />@Pascale Soucy:<br /><br />Tu mentionnes qu'il importe de s'adapter à chacun des cas. Appliquer la théorie de la contingence dans le domaine de la gestion des ressources humains demeure une valeur sûr.<br /><br />J'aime bien aussi le lien que tu fais entre les actions à poser, les valeurs et la culture d'entreprise. Effectivement, la façon dont le gestionnaire abordera ces questions doit être fortement imprégnée des valeurs de l'organisation.<br /><br />Merci pour vos commentaires, très intéressant!Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/11791859214847457081noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1121093041419813261.post-75107769112972115672009-10-14T13:34:06.421-04:002009-10-14T13:34:06.421-04:00@ Le Gestionnaire Borg
Tu as un très bon point, c...@ Le Gestionnaire Borg<br /><br />Tu as un très bon point, c'est une situation complexe! Tu poses les bonnes questions quand tu dis "Comment concilier respect, loi, confidentialité, humanisme, gestion, affaires, climat de travail et autres?" Car une personne atteinte d'une maladie mentale aura un impact direct sur son entourage et sur sa performance au travail comme l'indique Mathieu dans son commentaire.<br /><br />Je suis aussi d'accord avec Mathieu et ce qu'il propose : <br />"- mieux outiller (formation) les gestionnaires pour être en mesure de mieux gérer le côté humain <br />- faire connaître les programmes qui existent<br />- sensibiliser les personnes à parler."<br /><br />Par contre, je demeure réaliste. Le rôle que se donne un employeur dépend de ses propres valeurs et de ses préjugés. Je ne suis pas non plus certaine qu'il y ait de recette qui s'applique à tous. Je pense donc qu'il faut évaluer chaque cas de façon individuelle selon la personne, le type d'emploi, la maladie, sa durée, ses impacts, etc. <br /><br />Non, de toute façon, ce n'est pas simple pour personne...Pascale Soucynoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1121093041419813261.post-85844319193831029322009-10-14T12:11:58.057-04:002009-10-14T12:11:58.057-04:00La première fois que j'ai vu ton tweet, j'...La première fois que j'ai vu ton tweet, j'ai laissé passé. Puis ton rappel m'a amené sur ton site. Il faut dire que ce n'est pas mon sujet de prédilection.<br /><br />J'ai surtout aimé la réponse de Pascale:"...n'est pas une question d'obligation au niveau de l'entreprise mais bien une responsabilité en tant qu'être humain. " Je suis bien d'accord.<br /><br />Par contre, j'aimerais rajouter quelque chose au niveau du gestionnaire. Un gestionnaire se doit d'obtenir une performance de ses équipes et individus. Dans ce sens, le côté humain prend un peu le bord, mais ce que je veux dire, c'est que si la performance individuelle n'est plus la même, ça peut donner un indice. Pour ça, le gestionnaire doit pouvoir mesurer cette performance et être à l'affût des signes, ce qui est différent.<br /><br />Mais plus que les habiletés individuelles, la performance est aussi le résultat d'un contexte social. Donc, encore là, si la maladie mentale affecte un individu, cela va transparaître sur la performance globale. <br /><br />Je dirais donc qu'il faut: <br />- mieux outiller (formation) les gestionnaires pour être en mesure de mieux gérer le côté humain. <br />- faire connaître les programmes qui existent<br />- sensibiliser les personnes à parler<br /><br />Plus que ça, le gestionnaire se doit de mettre une limite je crois. Ça se tient comme commentaire ?Mathieu Laferrièrehttp://www.lagestiondeprojet.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1121093041419813261.post-17550146125038543382009-10-13T20:00:05.448-04:002009-10-13T20:00:05.448-04:00@Pascale Soucy:
Bonjour Pascale, très heureux que...@Pascale Soucy:<br /><br />Bonjour Pascale, très heureux que tu viennes commenter ici.<br /><br />«Selon moi, le rôle à jouer auprès des personnes souffrant d'une maladie mentale n'est pas une question d'obligation au niveau de l'entreprise mais bien une responsabilité en tant qu'être humain.»<br /><br />D'accord avec toi sur l'aspect humain de la question.<br /><br />Je suis aussi d'accord avec le fait qu'il importe de répondre présent à l'invitation du FFAPAMM.<br /><br />Par contre, ce que j'aimerais particulière savoir c'est comment y arriver malgré certaines contraintes légales et aussi humaines justement du fait de certains préjugés ainsi que des éléments que je souligne à la fin du billet.<br /><br />Exprimé autrement: Comment concilier respect, loi, confidentialité, humanisme, gestion, affaires, climat de travail et autres?<br /><br />Une problématique pas si simple lorsque l'on s'y attarde.Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/11791859214847457081noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1121093041419813261.post-3403460586925007742009-10-13T12:03:22.447-04:002009-10-13T12:03:22.447-04:00Selon moi, le rôle à jouer auprès des personnes so...Selon moi, le rôle à jouer auprès des personnes souffrant d'une maladie mentale n'est pas une question d'obligation au niveau de l'entreprise mais bien une responsabilité en tant qu'être humain. Donc, que ce soit en entreprise ou ailleurs, donner son support ou son écoute à une personne qui souffre relève de ses propres valeurs. Un peu comme on choisi d'ouvrir ou non la porte à une personne en béquille.<br /><br />Le problème avec la maladie mentale est que le sujet est tellement tabou qu'une personne qui en souffre doit non seulement essayer de gérer son problème mais aussi faire face aux préjugés. Et comme la personne est déjà vulnérable émotivement, ces préjugés peuvent venir aggraver la situation. Parfois, une simple écoute peut aider à désamorcer une angoisse momentanée. Ce qui peut permettre à la personne de continuer jusqu'à son prochain rendez-vous officiel.<br /><br />Je pense donc qu'il faut répondre à l'invitation du FFAPAMM et être "présent, réconfortant et supportant." Mais pas parce que l'on y est obligé. Plutôt parce qu'un ou une de nos collègues en a besoin.Pascale Soucynoreply@blogger.com